Le cabaret barré
de Maria Dolores y Habibi Starlight

Dernière mise à jour le 29 avril 2019

Photos Maria Dolorès

Elle chante bien, c’est sûr. Mais elle est aussi drôlement foldingue la diva madrilène. Chacun de ses spectacles a sa dose de délire. Un cabaret barré (dixit le Canard Enchaîné) qu’elle sert aujourd’hui à la sauce orientale, sérieusement épicée. Et comme, pour une fois, le communiqué de presse est à la hauteur de l’artiste, autant vous le servir nature…

Communiqué

Voici bien longtemps que Maria Dolorès, la « biche madrilène », hante de sa voix indigo les cabarets du monde entier et emporte le public dans ses aventures épiques et improbables…

Maria Dolorès y Habibi Starlight ou l’épopée musicale et orientale de Maria Dolorès à travers le pourtour méditerranéen… Ou plutôt sa fuite désespérée : un délire mythomane qui fait passer Don Quichotte pour un petit joueur. Au son du oud, des percussions et du piano, elle interprète reprises rares et compositions originales.

L’odyssée orientale d’une diva déjantée
sur son de mélodies arabo-andalouses

Avec ce répertoire plus imbibé qu’un loukoum, hymne au soleil brûlant, au charme viril du bédouin, au narguilé et aux cochons… (fennecs pardon), l’excentrique Diva nous emmène en un périple savoureux autour de la Méditerranée, de Marseille à Alger, du Sahara à l’Égypte, de la Palestine à la Turquie… Pour cette traversée du désert, elle s’accompagne d’une formation arabo-andalouse à la hauteur de son talent : Habibi Starlight.

« Elle fait de chaque chanson un hymne à l’ardeur du soleil » (Télérama)
« La biche madrilène est généreuse à chaque instant. Et le public le lui rend bien. » (Ouest France)

Jeudi 8 novembre 2018 à l’Espace Malraux

Réserver avec Entrée du Public et TicketMaster